28 avril 2016 - 00:00
Cité de la biotechnologie
Vetoquinol modernise son image
Par: Jean-Luc Lorry
L’équipe du centre de recherche et développement de Vétoquinol à Saint-Hyacinthe. Sur la photo, dans l’ordre habituel, Annabelle Dubé, responsable développement pharmaceutique; Valérie Lévesque, spécialiste développement analytique; Jean-Guy Doyle, préposé à la maintenance; Anick Girard, galéniste; François Masse, galéniste et Sabrina Defoy, technicienne analytique. Photo François Larivière | Le Courrier ©

L’équipe du centre de recherche et développement de Vétoquinol à Saint-Hyacinthe. Sur la photo, dans l’ordre habituel, Annabelle Dubé, responsable développement pharmaceutique; Valérie Lévesque, spécialiste développement analytique; Jean-Guy Doyle, préposé à la maintenance; Anick Girard, galéniste; François Masse, galéniste et Sabrina Defoy, technicienne analytique. Photo François Larivière | Le Courrier ©

L’équipe du centre de recherche et développement de Vétoquinol à Saint-Hyacinthe. Sur la photo, dans l’ordre habituel, Annabelle Dubé, responsable développement pharmaceutique; Valérie Lévesque, spécialiste développement analytique; Jean-Guy Doyle, préposé à la maintenance; Anick Girard, galéniste; François Masse, galéniste et Sabrina Defoy, technicienne analytique. Photo François Larivière | Le Courrier ©

L’équipe du centre de recherche et développement de Vétoquinol à Saint-Hyacinthe. Sur la photo, dans l’ordre habituel, Annabelle Dubé, responsable développement pharmaceutique; Valérie Lévesque, spécialiste développement analytique; Jean-Guy Doyle, préposé à la maintenance; Anick Girard, galéniste; François Masse, galéniste et Sabrina Defoy, technicienne analytique. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Sabrina Defoy, technicienne analytique chez Vétoquinol prépare des solutions.  Photo François Larivière | Le Courrier ©

Sabrina Defoy, technicienne analytique chez Vétoquinol prépare des solutions. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Vetoquinol, l’un des principaux joueurs de l’industrie pharmaceutique animale au Canada, dépoussière son image de marque en arborant un nouveau logo aux couleurs vertes de l’entreprise.

Présent au Canada depuis 1990, ce géant français loue des bureaux dans un motel industriel de la Cité de la biotechnologie depuis 2007.

La filiale canadienne de Vétoquinol ­regroupe un siège social à Lavaltrie, deux usines (Princeville et Belleville) ainsi qu’un centre de recherche et développement à Saint-Hyacinthe.

« Nous sommes présents à Saint-­Hyacinthe en raison de la proximité avec la Faculté de médecine vétérinaire. Nous recevons régulièrement des étudiants en stage provenant de cette institution », indique Annabelle Dubé, responsable ­développement pharmaceutique.

Dans ses fonctions, Mme Dubé dirige l’équipe de Saint-Hyacinthe qui compte six employés.

L’entreprise offre aux cliniques vétérinaires une gamme complète de médicaments destinés autant aux animaux de compagnie qu’à ceux de la ferme.

Le mandat du centre de recherche et développement de Vetoquinol est de résoudre les problèmes reliés aux produits existants pour tenter de les améliorer.

« Nous travaillons entre autres sur l’apparence du produit et nous vérifions qu’il soit toujours actif. On peut aussi être appelé à tester les dates de péremption », décrit Mme Dubé.

Vetoquinol est une entreprise française fondée en 1933 dans la ville de Lure, dans le nord-est de l’hexagone.

Cette multinationale occupe le 9e rang mondial dans le secteur des laboratoires pharmaceutiques vétérinaires. Vétoquinol compte 26 filiales et emploie plus de 2000 personnes.

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