21 décembre 2017 - 00:00
Vidéostock : un avant-goût du talent des jeunes en cinéma
Par: Olivier Dénommée
Isabelle D’Amours, en bas à gauche, pose en compagnie des sept étudiants qui réaliseront un stage durant le Festival de Cannes en mai 2018. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Isabelle D’Amours, en bas à gauche, pose en compagnie des sept étudiants qui réaliseront un stage durant le Festival de Cannes en mai 2018. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Isabelle D’Amours, en bas à gauche, pose en compagnie des sept étudiants qui réaliseront un stage durant le Festival de Cannes en mai 2018. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Isabelle D’Amours, en bas à gauche, pose en compagnie des sept étudiants qui réaliseront un stage durant le Festival de Cannes en mai 2018. Photo François Larivière | Le Courrier ©

À chaque fin de session d’automne, le département de cinéma du Cégep de Saint-Hyacinthe propose une projection des meilleurs projets réalisés par les étudiants au cours de la dernière session. Le festival Vidéostock a présenté le 13 décembre 17 vidéos, allant du documentaire au court-métrage de fiction en passant par le photo-roman.


Plusieurs étudiants ont montré un penchant pour des sujets plus lourds – le documentaire Jumelles, présentant deux sœurs identiques, mais dont une est née avec un handicap à cause de complications à la naissance, en a ému plusieurs – et ont fait preuve d’originalité dans leurs productions. Cela augure bien pour la session d’hiver, où les films des finissants seront présentés dans un cinéma professionnel.
Cannes
L’activité a aussi permis d’amasser quelques dollars pour financer le stage à Cannes que sept étudiants feront en mai prochain. Un tirage « moitié-moitié » a permis de récolter 58 $ pour la cause ce soir-là seulement.
Rosalie Carignan a appris il y a quelques semaines qu’elle fera partie des jeunes élus pour ce stage d’une dizaine de jours. « C’est une belle occasion de voyager et une bonne excuse pour aller à Cannes! Je ne vois pas beaucoup d’inconvénients, disons! » Le frein principal est surtout au niveau des coûts, estimés à 2 000 $ par élève par la professeure responsable, Isabelle D’Amours. Elle soutient toutefois que d’autres activités de financement sont au programme dans les prochains mois.

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